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Standards de race 

Aspect général

 

De prime abord, un berger allemand de qualité donne l’impression d’être un chien fort et musclé, agile, alerte et plein de vie. Le développement harmonieux de ses membres antérieurs et postérieurs lui donne une apparence équilibrée. En apparence et en fait, plus long que haut, le berger allemand offre au regard une silhouette gracieuse, composée d’une poitrine profonde et de courbes douces plutôt que d’angles. Plus substantiel que fusiforme, tant au repos qu’en mouvement, il ne doit jamais paraître gauche ou lourdaud, mais doit plutôt donner l’impression d’être en bonne condition physique et sembler posséder une grande agilité musculaire. C’est son air noble et racé qui fait du berger allemand un chien frappant : c’est une qualité difficile à définir mais facilement reconnaissable lorsqu’elle est présente. Un bon berger n’a jamais l’air commun. Ses caractères sexuels secondaires sont prononcés. Chaque animal doit porter la marque distincte de sa masculinité ou de sa féminité selon son genre. Tant en apparence que dans la façon dont il se comporte, le mâle doit avoir l’air nettement masculin. Aussi la femelle doit être immédiatement féminine sans pour autant être délicate de structure ou molle de caractère. La condition physique du berger allemand doit être comparable à celle d’un athlète : ses muscles et sa chair doivent être fermes, sa robe lustrée.

 

Tempérament

La personnalité du berger allemand se distingue des autres races : il est courageux sans être hostile, à la fois sûr de lui et réservé. Il a beaucoup d’expression mais ne favorise pas les manifestations spontanées d’affection envers le premier venu. Le berger allemand n’est pas un chien qui s’attache au premier venu. Il doit néanmoins demeurer calme et sûr de lui en attendant qu’on fasse les premiers pas, même s’il ne les fait pas lui-même. De caractère naturellement pondéré, il est vif et alerte, prêt à servir en qualité de compagnon, de chien de garde, de guide pour aveugle, ou de gardien de troupeau, quelles que soient les circonstances. Le berger allemand ne doit pas être timide, se cacher derrière son maître ou son présentateur, exprimer de la nervosité ou de l’anxiété ou craindrele bruit; il ne doit pas être paresseux, se languir ou se désintéresser de ce qui se passe autour de lui. Un manque de confiance, quelles que soient les circonstances, n’est pas typique d’un bon caractère. Certains chiens timides et nerveux peuvent donner l’impression d’être courageux mais il faut s’en méfier, car ils mordront ou attaqueront tout simplement parce qu’ils ont peur. Cela est un très grave défaut qui entraîne de lourdes pénalités.

Taille

La taille idéale des mâles est de 64 cm (25 po) et celle des femelles de 58 cm (23 po) à l’épaule. On détermine la taille d’un chien en mesurant une droite à partir de l’épaule perpendiculairement au sol. On doit alors prendre le soin de repousser le poil du chien pour que la mesure soit bien celle de sa structure osseuse. La valeur du berger comme chien de travail diminue proportionnellement aux écarts à la taille normale, bien que de légères variations de 2 ou 3 cm de plus ou de moins que la norme soient permises. De plus grands écarts doivent être considérés comme un défaut. Le poids moyen d’un berger en bonne condition physique et de taille souhaitable varie de 34 à 39 kg (75 à 85 lb) chez les mâles, et de 27 à 32 kg (60 à 70 lb) chez les femelles

Robe

En temps normal, le berger allemand a une robe double : un poil extérieur et un sous-poil. L’épaisseur du sous-poil varie selon les saisons et le temps que le chien passe à l’extérieur. Il doit cependant toujours être assez dense et résistant à l’eau pour protéger le chien des intempéries et des insectes. Le poil extérieur est aussi dense que possible, ras et rude au toucher et près du corps; un poil extérieur légèrement ondulé, parfois rugueux, est aussi permis. La tête du chien, y compris l’intérieur des oreilles, son front, ses jambes et ses pieds sont recouverts d’un poil court alors que le cou a un poil plus épais et plus long. On retrouve, à l’arrière des bras et des jambes, un poil plus long qui s’étend respectivement aux paturons et aux jarrets. Les défauts de robe sont : l’absence totale de sous-poil, un poil doux, soyeux, ou trop long, une robe frisée ou laineuse.

Couleur

La couleur du berger allemand varie grandement. Les couleurs fortes et riches avec une pigmentation bien définie et sans l’apparence de couleur délavée sont préférées. Les chiens blancs doivent être disqualifiés.

Tête

Nette et forte, la tête du berger allemand est caractérisée par sa noblesse. Elle doit être proportionnée au reste du corps, et ne doit jamais avoir l’air informe, bien qu’un certain manque de raffinement, particulièrement chez les mâles, soit préférable à un excès de raffinement. Un crâne rond ou en forme de dôme est un défaut. Le museau est long et puissant et les lèvres sont bien tendues : il est habituellement parallèle à une prolongation imaginaire de la ligne du front. Vu de l’avant, le front n’est que modérément bombé et le crâne s’abaisse des oreilles à la truffe sans cassure trop accentuée. Les mâchoires sont très développées. Les mâchoires inférieures faibles ou trop étroites, l’absence de stop et le museau effilé sont tous des défauts. Le chien adulte possède 42 dents : 20 dents supérieures et 22 dents inférieures. Ces dents sont acérées, tranchantes, bien dessinées, et se rencontrent en cisailles (une partie de la face intérieure des dents supérieures touchant à une partie de la face extérieure des dents inférieures). Tout en ayant l’avantage de minimiser l’usure des dents, les dents en cisaille constituent le type de mâchoire qui donne l’emprise la plus puissante. La mâchoire supérieure qui dépasse la mâchoire inférieure (prognathisme supérieur) est un défaut grave. L’inverse, la mâchoire inférieure qui dépasse la mâchoire supérieure (prognathisme inférieur) est un défaut très grave. Même si l’on constate fréquemment l’absence de prémolaires, une dentition complète est nettement préférable. Les dents décolorées sont un défaut dont la gravité dépend du degré de décoloration par rapport au blanc recherché. On ne doit pas pénaliser trop sévèrement un chien dont les dents ont été cassées accidentellement. En revanche, des dents usées, particulièrement s’il s’agit des incisives, sont souvent indicatrices de mâchoires qui ne sont pas en cisailles. Il faut ici prendre en considération l’âge du chien, qui peut affecter sa dentition. Les yeux sont de taille moyenne, en forme d’amande, légèrement obliques, de couleur aussi foncée que possible et non-saillants. On rencontre quelquefois des chiens aux yeux plus clairs; on peut dire que ce n’est pas un défaut grave si la couleur des yeux s’harmonise avec l’ensemble de la robe, mais on doit toujours préférer les yeux plus foncés. Le regard du berger allemand doit être vif, intelligent, et posé. Les oreilles du berger allemand sont modérément pointues, ouvertes vers l’avant et dressées quand le chien est aux aguets. Le port d’oreille idéal est celui ou les axes principaux des oreilles, vus de face, sont parallèles entre-elles et perpendiculaires au sol. Il arrive que les oreilles des chiots ne se dressent de façon permanente que vers l’âge de 4 à 6 mois, et quelquefois même plus tard encore. Les oreilles coupées ou pendantes ne sont pas admises. L’apparence générale du chien dépend largement du port de ses oreilles. Ni trop grandes, ni trop petites, elles doivent être proportionnées à la tête du chien. Toutefois, si les oreilles sont bien dressées, on ne doit pas accorder une importance démesurée à la façon dont elles sont portées.

Cou

Le cou est fort et musclé, relativement long, bien défini, sans fanon et proportionné à la tête du chien. Quand le chien est sur ses gardes, il porte le cou vers le haut et dresse sa tête. Le reste du temps, le port de tête typique est vers l’avant plutôt que vers le haut, la tête légèrement plus élevée que le dessus des épaules, et ce, particulièrement quand le chien est en mouvement.

Corps

L’ensemble de la structure du corps du berger allemand donne une impression de profondeur et de solidité, sans apparence de volume excessif. Le poitrail commence au sternum et descend loin entre les bras; il doit avoir l’air bien plein et non creux. La poitrine est profonde, ample et suffisamment spacieuse pour y contenir le coeur et les poumons. Portée bien en avant, l’extrémité du sternum dépasse l’épaule quand le chien est vu de profil. Les côtes sont longues et bien cintrées. Elles ne sont ni bombées ni trop plates et descendent jusqu’au sternum qui est au moins au niveau du coude. Les côtes bien formées permettent au coude du chien qui trotte de se mouvoir librement, alors que trop arrondies, elles gênent les coudes qui vont alors vers l’extérieur. Elles doivent s’étendre loin vers l’arrière de façon à ce que le rein et le flanc soient relativement courts. Le ventre est tenu fermement sans rebondissement. Le profil inférieur du berger est légèrement rentré sans être levretté comme dans le cas d’un lévrier.

Jambes

L’os de la jambe est droit; sa section est ovale plutôt que ronde ou plate et n’est pas spongieuse. La grosseur de l’os est proportionnée à la taille du chien et contribue à l’aspect général de substance du chien sans toutefois donner l’impression qu’il est massif. Les os crochus et les malformations, comme par exemple une malformation causée par le rachitisme, ne sont pas admis. Les paturons sont de taille moyenne, forts et élastiques. L’élasticité est plus importante pour le berger allemand que pour toute autre race de chien, car ce sont les paturons qui fournissent au berger la souplesse et la facilité nécessaires à son allure de trot. Les paturons verticaux comme ceux du terrier sont nettement indésirables. Le métatarse, communément appelé jarret, est court, bien dessiné, et d’une grande puissance. Le métatarse est l’origine ou le point d’appui de la propulsion du chien. Les «jarrets de vache» sont un défaut. Toutefois, avant de pénaliser un chien pour des «jarrets de vache», il faut bien s’assurer que c’est le cas : il arrive en effet, à l’occasion, qu’un chien à l’arrière-train correctement formé donne, en position debout, cette fausse impression.

Pieds

Les pieds sont courts, compacts, bien formés et arqués; ils ont des coussinets durs, des ongles courts et forts. Les pieds du chien de travail sont importants : le pied idéal est extrêmement fort, possède une grande puissance d’emprise et des coussinets très larges. Le pied de chat, ou pied de terrier, n’est pas désirable. Le pied de lièvre, mince ou ouvert est encore moins désirable.

Ligne du dessus

Le garrot est placé plus haut que le dos vers lequel il s’incline; ceci facilite la jonction correcte des omoplates. Le dos est droit et fort sans ensellure ou bombe; cette section entre le garrot et la croupe est relativement courte. La longueur tant recherchée chez le berger ne provient pas de la longueur du dos mais bien de la longueur de l’ensemble du chien par rapport à sa hauteur; cette proportion s’obtient par un arrière-train et un avant-train larges, vue de profil. Vu d’en haut, le rein est large et solide; vu de profil, il s’incorpore graduellement au dos, sans longueur excessive entre la dernière côte et la cuisse. La croupe est longue et légèrement inclinée; une croupe de niveau ou aplanie empêche le fonctionnement approprié de l’arrière-train; ce dernier doit en effet pouvoir s’étendre loin en avant, sous le corps du chien. Une croupe à forte pente nuit également au mouvement de l’arrière-train.

Structure

Le berger allemand est un chien dont l’allure principale est le trot. Sa structure doit donc correspondre aux exigences que lui impose son travail de gardien de troupeaux. En d’autres termes, son trot long et sans effort doit lui permettre de franchir facilement la plus grande distance possible en faisant le moins grand nombre de foulées, compte tenu de sa taille. Pour ce faire, c’est-à-dire pour permettre la propulsion vers l’avant de son arrière-train, propulsion compensée ensuite par une longue foulée de son avant-train, les proportions du corps du berger doivent être correctes, son dos doit être solide, ses muscles fermes, et l’acuité des angles entre les parties de ses membres antérieurs et postérieurs doit être appropriée. La hauteur du garrot, la fermeté du dos, la force des reins, la forme correcte de la croupe et même la queue qui sert à équilibrer, sont tous des éléments qui contribuent à parfaire l’allure du berger.

Proportions

Le berger allemand correct est plus long qu’il n’est haut. La proportion la plus recherchée est celle de 10:8 1/2. Nous avons déjà vu comment mesurer la hauteur du chien; sa longueur, pour sa part, est prise sur un chien qui se tient debout, au naturel. On mesure alors horizontalement, de la pointe du sternum à l’extrémité arrière du bassin.

Angulation

Avant-train : l’omoplate est longue et bien appliquée au corps du chien. Son extrémité supérieure doit être dans la projection d’une droite passant par le coude et perpendiculaire au sol. L’omoplate oblique vers l’avant jusqu’à ce qu’elle rejoigne l’os du bras. Le garrot est placé haut et les omoplates s’y rejoignent de près. L’angle formé avec le bras droit doit se rapprocher le plus possible d’un angle droit. Une telle angulation permet l’extension maximale du bras, sans tension et sans effort. Les défauts de l’avant-train sont : les bras ou les omoplates placés à un angle trop aigu ou trop obtus, les bras ou les omoplates trop courts, une angulation insuffisante entre ces parties de l’avant-train, un relâchement causé par un manque de fermeté des ligaments, les épaules trop développées avec des masses de chair ou de muscles à l’extérieur. Une structure dans laquelle l’ensemble de l’épaule est trop poussé vers l’avant restreint la foulée et est considérée comme un défaut.

Arrière-train

L’angulation de l’arrière-train consiste idéalement en une série d’angles prononcés définissant les positions relatives des parties du membre. L’os de la cuisse doit paraître parallèle à l’omoplate alors que le grasset doit être parallèle à celui du bras. L’assemblage de la cuisse, vu de côté, est large. La cuisse et le grasset sont bien musclés et proportionnés l’un par rapport à l’autre. Le métatarse (l’os placé entre le pied et la jointure du jarret, communément et faussement appelé le jarret), est fort, net et court. La jointure du jarret est nettement démarquée.

Queue

Touffue, la queue du berger allemand descend jusqu’au jarret et habituellement plus bas encore. Prolongeant harmonieusement la croupe, la queue y est placée plus vers le bas que vers le haut. Elle est portée en courbe douce, un peu comme un sabre. Parfois son extrémité forme un crochet latéral; ce n’est un défaut que si cela dépare l’aspect général du chien. Quand le chien est en mouvement ou en état d’excitation, la courbe s’accentue, et la queue se dresse, sans toutefois dépasser la verticale. On disqualifie les chiens à queue coupée ou encore ceux qui ont subi une intervention chirurgicale ayant pour objet d’empêcher la queue de se recourber. On considère comme défauts graves les queues trop courtes ou celles dont les extrémités sont une masse compacte causée par l’ankylose ou l’ossification des vertèbres.

Allures

L’allure du berger allemand est élastique, apparemment sans effort, d’une grande extension, souple et rythmique. Quand le berger marche, les longues foulées de son arrière-train et de son avant-train lui font parcourir une longue distance. Quand il trotte, la distance parcourue est encore plus grande; le berger se déplace alors avec aisance et puissance démontrant la parfaite coordination de son dos et de ses membres par un mouvement assidu et régulier qui rappelle celui d’une machine en parfait état de fonctionnement. Les pieds restent près du sol; ni les mains ni les pieds ne se soulèvent lors de l’extension vers l’avant ou encore lors de la poussée vers l’arrière. L’arrière-train transmet, par le dos, la propulsion vers l’avant qui soulève légèrement tout le chien et repousse son tronc vers l’avant. Rentrant bien loin sous le corps et dépassant l’empreinte laissée par la main gauche, le pied gauche qui est fort et arqué, s’agrippe au sol; ensuite, le jarret, le grasset et le haut de la cuisse entrent en jeu et balaient vers l’arrière. Le pied demeure par la suite près du sol alors que le mouvement prend fin. La surextension de l’arrière-train force un pied à passer à l’extérieur et l’autre à passer à l’intérieur de la trace laissée par les pieds antérieurs. Ce mouvement n’est un défaut que s’il force le chien à se déplacer latéralement et non en ligne droite. Seule une coordination parfaite des muscles et de l’ensemble de la structure du chien, quand les muscles et les ligaments fonctionnent de façon précise et régulière, peut permettre d’accomplir le mouvement idéal.

Transmission par le dos

L’allure souple et coulante du berger allemand ne peut être maintenue que si son dos est très fort et très ferme (ne pas confondre fermeté avec rigidité). L’effort que fournit l’arrière-train est transmis à l’avant-train par les muscles et la structure osseuse du rein, du dos et du garrot du chien. Au grand trot, le dos doit demeurer ferme et de niveau, sans rouler, osciller, sauter ni se bomber. L’épaule, dans le but de compenser pour la poussée vers l’avant que lui fournit l’arrière-train, doit ouvrir au maximum possible de son extension (on voit maintenant pourquoi l’angulation de l’épaule est si importante), et les avant-bras doivent s’étirer et faire une enjambée qui équilibre celle de l’arrière-train. Si l’angulation de l’avant-train est insuffisante, le chien trébuchera ou devra soulever ses bras de façon excessive pour maintenir son équilibre. Si la structure de l’épaule est défectueuse, les membres ne seront jamais coordonnés les uns aux autres. Un grave défaut d’allure est celui ou un chien en mouvement montre un profil dorsal qui n’est pas droit, le garrot étant plus bas que les hanches du chien. Contrairement au terrier, les foulées du berger allemand ne se font pas sur des lignes parallèles. Au trot, le berger allemand doit rentrer ses pieds vers le centre de son corps pour maintenir son équilibre. C’est pourquoi un chien en mouvement, vu de face ou de l’arrière, peut donner l’impression que ses membres ne sont pas d’aplomb Ceci n’est pas un défaut, à moins que le chien ne croise ou ne frappe ses pieds, ou encore à moins que ses genoux ou ses épaules ne soient projetés vers l’extérieur. En tout temps, les pieds et les jarrets doivent demeurer parallèles, même s’ils sont tout près l’un de l’autre. On peut aussi évaluer la qualité de l’allure du chien en mouvement en regardant de profil sa façon de couvrir le terrain.

Résumé

Il est important de se rappeler que le berger allemand est un chien de travail, incorruptible, dont la morphologie et l’allure doivent répondre à sa raison d’être. Toutes ces qualités doivent être évaluées en fonction de cet objectif; aucun compromis ne doit être toléré à cet égard. Néanmoins, on ne doit pas oublier que le berger allemand est un chien très beau et très noble.

Évaluation des défauts

L’ordre d’importance des défauts énumérés ici est celui des catégories employées, indépendamment de la position du défaut dans chacune des catégories.

 

Défauts

Défauts très graves : les défauts importants de tempérament, le prognathisme inférieur.

 

Défauts graves : les défauts de proportion et d’équilibre; les défauts d’allure (vu de devant, d’arrière ou de côté); une insuffisance de gabarit (des os ou du tronc); les mâles efféminés; les défauts de dos; les croupes trop droites ou trop courtes; les reins longs et faibles; les mauvais pieds; les queues enroulées; les queues trop courtes; un état rachitique; absence de plus de 4 prémolaires ou de toute autre dent, sauf si c’est accidentel; un manque de noblesse; une pigmentation délavée; le prognathisme supérieur grave.

 

Défauts : les femelles masculines; un piètre port d’oreilles; les têtes trop raffinées; les museaux pointus; une mauvaise condition musculaire; une robe en mauvais état; de mauvaises dents.

 

Défauts mineurs : les têtes trop grossières; les queues à crochet; les yeux trop clairs, ronds ou saillants; les dents décolorées; un mauvais état de la robe causé par le rut ou le manque d’entretien.

 

Caractéristiques éliminatoires Signes d’albinisme; oreilles coupées; oreilles pendantes (comme chez les chiens courants); queue coupée; animaux mâles ayant un ou les deux testicules non-descendus (monorchides ou cryptorchides); chiens blancs.

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